Nous sommes tou•te•s d’accord: le papelard, c’est le panard. Un truc sensuel et parfumé. Ceci étant, le web, parfois (souvent?), propose quelques merveilles. Derrière les fenêtres surgissantes et les consentements forcés. Grâce à un super pouvoir tout bête: le défilement. Ci-dessous, trois exemples de ce qu’une page peut offrir de captivant, d’intrigant ou de bien fichu1.
L’article s’attarde sur dix comédiennes et comédiens étatsunien•ne•s ayant marqué l’année 2019. La sélection est évidemment arbitraire, les portraits absolument canon, la maquette d’une élégante simplicité. Le New York Times fait, de manière générale, les choses bien.
C’est une petite société de production audiovisuelle monté par 2 copains d’enfance, Joe et Jimmie. Leur premier long-métrage, The last black man in San Francisco, a reçu le prix de la mise en scène au dernier festival de Sundance. Et leur site est une intrigante beauté noire.
Le top 50 de l’année 2019 selon Bloomberg. Plus les chiffres sont gros, plus c’est leur came, hein. Cette page s’accorde à la démarche — en mettre plein la vue. Des couleurs vives, des faux airs de Warhol: multi-millionnaires et milliardaires (en dollars, en abonné•e•s ou en toute autre valeur aussi futile) prennent des allures d’icônes pop.
Rayer la mention inutile↩︎